Uniformen der französischen Armee im 17. Jh.
UNIFORMEN DER FRANZÖSISCHEN ARMEE (INFANTERIE UND MARINE).
NR. 16. – 1608. Arquebusier Infanterist.
NR. 9. – 1610. Einhundert Schweizer, in den Farben der Königin Mary von Medici, mit der Kompanieflagge.
NR. 10. – 1625. Bogenschütze von der Wache oder Leibwache.
NR. 22. – 1630. Fifre (Flötist) des französischen Garde-Regiments.
NR. 20. – 1630. Fähnrich, gleiche Waffe.
NR. 15. – 1630. Leichter Kavallerieoffizier.
NR. 11. – 1647. Infanterieoffizier.
NR. 19. – 1660. Infanterieoffizier. Die Offiziere trugen die Pique- und Halshaken, ohne andere Uniformität.
NR. 14. – 1664. Trommler des französischen Garderegiments. – Die französischen Wachtrommeln trugen Trikots in der Farbe des Königs, türkisblau, mit weißen und rot-karierten Streifen.
NR. 5. – 1667. Infanterie, Musketiere.
NR. 7. – 1676. Offizier des Königsregiments (Infanterie.)
NR. 8. – 1685. Infanterieoffizier. Die Offiziere trugen scharlachrote Mäntel.
NR. 13. – 1686. Offizier der französischen Wachen.
NR. 4. – 1688. Generaloffizier der Royal Navy. Die Marineoffiziere trugen keine Uniformen, ebenso wenig wie die Seeleute.
NR. 12. – 1689. Milizoffizier. Die Miliz bewachte die Festungen.
NR. 6. – 1694. Generaloffizier ohne Uniform. Der Generalbeamte wurde in der Schlacht an einem großen silbernen Schal erkannt, den er an einem Gurt trug.
NR. 21. 1697. Musketier, Schweizer Garde-Regiment. Das gesamte Regiment trug eine rote Uniform, mit blauem Seitenstreifen, Jacke, Hose und Strümpfen.
NR. 18. – 1697. Fähnrich des französischen Wachregiments.
NR. 17. – 1700. Fähnrich des Regiments von Champagne. NR. 1, 2, 3. – 1705. Küstenartillerie. Nr. 1 ist Sergeant bei Rochefort. Nr. 2 ist ein Zeichen der Compagnie franche des canonniers der côtes de l’Océan. Ihre weiße Flagge, die von Ludwig XIV. verliehen wurde, trug das Wappen des großen Artilleriemeisters; man sieht ein Gewehr und das Motto: Tonantis imago („Im Anlitz des Donners“).
Die ältesten Beispiele stammen von de Gheyn, Crispin de Pas, Abraham Bosse, Callot, de La Belle und anderen Graveuren der Zeit, dann von Lebrun und Van der Meulen, Bonnard, Mariette und Saint-Jean; schließlich von der französischen Militärausstellung, die Herrn le maréchal de Boufflers gewidmet ist, die dort 1697 in Paris veröffentlicht wurde, und einer Sammlung von Guérard.
(Siehe das Buch Les Costumes militaires français von den Herren de Noirmont und Alfred de Marbot. Paris Clément, Herausgeber.)
Aquarell von Herrn Sabatier. – Lithographie von M. Urrabieta, Drucklithographie von Firmin-Didot et Cie.
COSTUMES DE L’ARMEE FRANÇAISE (INFANTERIE ET MARINE).
NR. 16. 1608. Fantassin arquebusier.
NR. 9. 1610. Cent-Suisses, aux couleurs de la reine Marie de Médicis, avec le drapeau de la compagnie.
NR. 10. 1625. Archer de la garde ou garde du corps.
NR. 22. 1630. Fifre du régiment des gardes-françaises.
NR. 20. 1630. Enseigne, même arme.
NR. 15. 1630. Officier de cavalerie légère.
NR. 11. 1647. Officier d’infanterie.
NR. 19. 1660. Officier d’infanterie. Les officiers portaient la pique et le hausse-col, sans autre uniformité.
NR. 14. 1664. Tambour du régiment des gardes françaises. – Les tambours des gardes françaises avaient des justaucorps à la livrée du roi, bleu turquin, avec des galons à carreaux blancs et l’rouges.
NR. 5. 1667. Infanterie, mousquetaires.
NR. 7. 1676. Officier du régiment du roi (infanterie.) A une revue passée en 1667, les officiers de ce régiment avalent tous la cuirasse.
NR. 8. 1685. Officier d’infanterie. Les officiers portaient alors des manteaux écarlate et des manchons.
NR. 13. 1686. Officier aux gardes françaises.
NR. 4. 1688. Officier général de la marine royale. Les officiers de marine n’avaient point d’uniforme, non plus que les matelots. NR. 12. 1689. Officier de milice. La milice gardait les places fortes.
NR. 6. 1694. Officier général n’ayant pas d’habit uniforme. On reconnaissait l’officiel‘ général un jour de bataille à la grande écharpe d’argent qu’il portait en baudrier.
NR. 21. 1697. Mousquetaire, régiment des gardes suisses. Tout le régiment avait l’uniforme rouge, avec parements, veste, culotte et bas bleus.
NR. 18. 1697. Enseigne du régiment des gardes françaises, portant le drapeau d’ordonnance dans chaque compagnie.
NR. 17. 1700. Enseigne du régiment de Champagne.
NR. 1, 2, 3. – 1705. Artillerie des côtes. Le no 1 est un sergent de la compagnie de Rochefort, le no 2 est un enseigne de la compagnie franche des canonniers des côtes de l’Océan. Leur drapeau blanc, donné par Louis XIV, portait l’écusson du grand maître de l’artillerie; on y voit un canon faisant feu et la devise: Tonantis imago.
Les exemples les plus anciens sont empruntés à de Gheyn, Crispin de Pas, Abraham Bosse, Callot, de La Belle, et autres graveurs du temps, puis à Lebrun et Van der Meulen, à Bonnard, Mariette et Saint-Jean; enfin, à l’Art militaire français, dédié à M. le maréchal de Boufflers, publié il, Paris en 1697, et an recueil de Guérard.
(Voir l’ouvrage les Costumes militaires français de MM. de Noirmont et Alfred de Marbot. Paris Clément, éditeur.)
Aquarelle de M. Sabatier. – Lithographie de M. Urrabieta, Impr. lith. de Firmin-Didot et Cie.
Obiges Bild links zeigt die Niederlage des Grafen von Marsin (1601–1673) im Devolutionskrieg (1667–1668) zwischen Spanien und Frankreich gegen die französischen Truppen von Maréchal de Turenne im Jahr 1667. Auf diesem Bild ist die Verwendung des Befehlsstabs zu sehen. Aus dem Gemälde von Le Brun, gestochen von Séb. le Clerc (1680).
Kanonen und Schwenk Geschütze auf ihren Montierungen und Wagen.
A A A. Kanone, die auf ihrer Halterung montiert, bewaffnet und ausgerüstet ist.
B. Gußeiserne Kanonen auf einem Drehpunkt montiert. Sie wurden von hinten mit Steinen oder Schrott geladen, dann eine mit Pulver gefüllte Dose aus Eisen oder Bronze von hinten mit einem Eisenstift festgezogen, mit der linken Hand wurde die Kanone zum Ziel ausgerichtet und mit der rechten Hand in Brand gesetzt.
C C. Laden und Schießen eines Artilleriegeschützes, das mit dem Arm be- und entladen wird; portugiesische Erfindung.
Canons et pierriers sur leurs affuts. (Même source.)
A A A. Canon monté sur son affut, armé et équipé. – Autre canon garni comme le précédent, ayant de plus un avant-train fail d’un essieu et d’une paire de roues. – Coulevrine posée sur un chariot léger utile à l’artillerie dans ls pays de terre forto.
B. Pierriers de fonte, montés sur pivot. On. les chargeait par I’arrière on introduisant dans la volée la bulle, les pierres ou les ferrailles, puis une boîte faite do fer ou do bronze remplie do grosse poudre, serrée par derrière avec une cheville de fer. De la main gauche on faisait évoluer le pierrier pour la mire; on mettait le feu à la boîte avec la main droite.
C C. Chargement et tir d’une pièce d’artillerie se chargeant et se déchargeant avec le bras; d’Invention portugaise.
Die verschiedenen Kanonenarten.
Nr. 1. Bronzekanone zehn Fuß lang, mit einer 48 Pfund schweren Kugel.
Nr. 2. Eine außergewöhnlich große, 15 Fuß lange Coulevrine, die 16 Pfund Gewicht und Kette trägt.
Nr. 3. Halbe Waffe oder Schlange, die 24 Pfund Gewicht trägt.
Nr. 4. Lecher Kanone oder Halbkanone bezeichnet den Durchschnitt, da sie 24 Pfund Kanonenkugeln tragen; diese 24 Pfünder wurden am häufigsten verwendet, um Batterien aufzustellen und die Feldlinien anzugreifen.
Die Nrn. 5, 6, 7, 8 und 9 stellen Leichtbau- oder Feldkomponenten dar: Eine Schlange, die 16 Pfund Ball trägt. Bastardschlange, zehn Fuß lang, mit dem 8-Pfund-Kugel. Leichter Bastard mit 8 Pfund Kugel. 8, 4 Pfünder Regimentsstück. Der Faucon trug 10 Pfund und der Fauconneau 5 Pfund Kugeln. Drehbrasse mit einer 3-Pfund-Kugel.
N° 10. Ein portugiesisches Modell, das nach Frankreich importiert wurde, nur eineinhalb Meter lang und mit 54 Pfund Kugeln und 10 Pfund Pulver.
N° 11. Mörser, mit dem Bomben geworfen oder abgeworfen werden.
Les différentes espèces de canons. – D’après les Traeaux de Mars.
N° 1. Canon de bronze de dix pieds de long, à balle de 48 livres.
N° 2. Grande coulevrine extraordinaire longue de quinze pieds, portant 16 livres de boulet.
N° 3. Demi-canon ou coulevrine, portant 24 livres de balle.
N° 4, Canon lécer ou demi-canon dit la moyenne, portant 24 livres de boulet; ces pièces de 24 étaient les plus usitées pour faire les batteries et attaquer les places.
Les N° 5, 6, 7, 8 et 9, représentent des pièces légères ou pièces de campagne: 5. Coulevrine portant 16 livres de balle, 6. Coulevrine bâtarde, dix pieds de long, avec le boulet de 8 livres. 7. Bâtarde légère de 8 livree, 8. Pièce de régiment de 4 livres. Le Faucon portait 10 livres et le Fauconneau 5 livres de balle. 9. Pierrier, portant un boulet de 3 livres.
N° 10. Pièce d’origine portugaise, importée en France, n’ayant qu’une longueur d’un pied et demi, tirant 54 livres de fer avec 10 livres de poudre.
N° 11. Mortier servant à élever ou à jeter les bombes.
Quelle: XVIIe siècle; institutions, usages et costumes, France, 1590-1700; by Jacob Paul Lacroix. Paris, Firmin-Didot et cie, 1880.
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